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Mon combat pour Toi

19 février 2009

Fin du spectacle

Waouh, ça fait longtemps...

Une longue hésitation, puis finalement je décide de laisser ici un dernier message avant de quitter ce monde virtuel où je n'ai plus rien à faire... Parce que vous tous qui m'avez tant soutenu, vous méritez bien ce petit mot...

Sachez que je vais beaucoup mieux. Je me suis rendu compte de beaucoup de choses, en ai découvert d'autres. Ce combat n'en valait pas la peine. J'ai fait beaucoup trop d'efforts. Mais je ne regrette rien. Je me suis battu pour un rêve, pour des convictions. Je suis toujours resté droit et honnête. Je suis fier de ce que j'ai fait, fier de ce que je suis. Ca peut paraître prétentieux mais tant pis : je suis quelqu'un de bien et je le revendique...

Le divorce est en cours. A l'amiable. La procédure suit son cours. Plus que quelques semaines, quelques mois, et la page sera définitivement tournée.

Et puis....je refais ma vie. Elle est merveilleuse. Sans elle, je ne m'en serais pas si bien sortie. Voilà. Pas plus de détails. Par pudeur. J'ai déjà trop étalé ma vie... Soyez juste sûrs que je suis heureux. Et à nouveau amoureux.

Ainsi finit cette histoire, qui n'en était pas une. Merci à vous tous qui avez voulu y croire pour moi. Vous n'imaginez à quel point vos messages de soutien m'ont apaisé.

Deux petits messages personnels. A toi Nannouille : ne perds jamais tes rêves de vue. Quelle que soit la solution, tu feras une mère merveilleuse, j'en suis persuadé. Courage! Et merci pour tout...

Et puis à toi, Nhan Hien. Comment t'oublier! Tu as été la première, et puis tu ne m'as jamais lâché. Tu as toujours voulu y croire. Tu ne lisais pas ma vie, tu la ressentais, t'y impliquais quelque part... MERCI !!!

J'aurais toujours une petite pensée pour vous deux, et essaierais de venir vous lire de temps en temps.

Encore merci à tous. Soyez heureux...

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7 novembre 2008

Rien à dire

Juste besoin d'elle...

3 novembre 2008

Récit d'un désarroi

Quatre années avec elle, pleines d'un amour transit.

Aujourd'hui sans ma belle, amoureux éconduit.

Me rendre ma liberté pour soulager mes peines

N'a fait qu'accentuer ma souffrance et ma haine.

Cette solitude m'effraie et ravage mon cerveau.

Je tombe dans le précipice et termine en lambeaux.

Je regrette tant le temps où je rentrais le soir,

Et retrouvais mon coeur, son sourire et l'espoir.

Depuis chaque jour je lutte sans plus d'idées certaines.

Depuis j'erre sans but, je suis une âme en peine.

Retrouver cette envie, me construire à nouveau.

Démarrer une autre vie, repartir de zéro.

Mais comment oublier celle que j'ai tant aimé,

Jusqu'à la déraison, rejetant la vérité ?

Car toute mon énergie est partie avec elle.

Je n'ai plus de repères, je me suis brûlé les ailes.

Ne reste que son fantôme qui hante mes pensées,

Et fait de moi cet homme perdu et désœuvré.

Ces photos, ces souvenirs, ce mariage, ces poèmes

Je n'arriverai plus jamais à aimer comme je l'aime.

29 octobre 2008

Comédie (dramatique) musicale

Ouverture de bal

I'm so tired of playing, playing with this bow and arrow, gonna give my heart away, leave it to the other girls to play. For I've been a temptress too long, hmmm, just, give me a reason to love you....

Bientôt trois semaines que le temps s'est arrêté. Non, non rien n'a changé. Non, rien. Elle me manque. Pas une heure sans que je pense à elle. Pourtant, je fais tout pour m'occuper l'esprit. Rien n'y fait. Je n'étais qu'un fou, un fou d'amour.

Chaque matin je me réveille croyant avoir fait un cauchemar. Mais ce n'en est pas un. Tout cela est bien réel. Quatre mois de mariage et voilà où j'en suis, à passer ma matinée de taf sur le net, me renseignant sur les procédures de divorce et racontant ma folklorique vie dans un monde virtuel. 24 ans. Waouh, vivement la suite...

Alors, pour masquer les apparences, je joue le dur. Et souffre en silence. Encore et toujours.

Mais je trouve pas de refrain à notre histoire. Tous les mots qui viennent sont dérisoires. J'sais bien qu'j'te l'ai trop dit, mais j'te le dis quand même : JE T''AIME.

21 octobre 2008

Retour d'un guerrier en berne

J’avais pourtant dit que je ne reviendrai plus ici. J’ai menti. J’ai encore besoin de cet endroit pour le moment. Peut-être moins qu’avant. Mais un peu quand même. Au moins le temps de faire mon deuil.

Dix jours maintenant que nous sommes séparés. C’est dur. Je ramasse pas mal. Bien sûr j’ai pas mal de soutien. Mais. Je pense à elle. A toute cette histoire. Presque quatre ans et demi et un mariage sur lesquels je dois tirer un trait. Pour mon bien. Ne pas devenir fou.

Je me pose énormément de questions. Qu’est ce qui a mal tourné ? Comment aurais-je pu faire autrement ? Pouvions-nous éviter tout ça ? Et si…. ? Je refais le monde et mets Paris en bouteille. Tout se chamboule dans ma tête usée. Et reste sans réponse.

Il y a tout de même du mieux. Je dors à nouveau. Je mange. Je ne vomis plus. Mais le plus dur est à venir. L’officialisation. La paperasse. Le déménagement de la maison surtout. De notre nid d’amour.

J’ai enlevé mon alliance. Trop difficile. Ces larmes qui me montent dès que mon regard la croise et cette douleur au cœur. Insupportable. Je l’ai enlevée. Et rangée.

J’ai beaucoup de mal à ressentir comment elle vit tout ça. Mieux que moi j’espère. Elle m’a dit qu’elle ne voulait plus boire. Ce serait un grand pas pour elle. Je lui ai demandé de ne plus me mentir. Sous peine de tout perdre. Même mon amitié et mon soutien. Même si je dois avoir mal, je veux de l’honnêteté. Par respect pour tout ce qu’on a vécu ensemble. Pour tout ce qu’on a traversé. Les joies. Les peines. Parce que j’en ai besoin.

Le combat a pris une nouvelle direction. Je dois désormais réapprendre à vivre. Sans elle. Sans ailes.

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13 octobre 2008

Sans mot

Sans elle, cet endroit n'a plus d'intêret. J'ai perdu. Je ne reviendrai sans doute plus ici.

Merci à vous tous qui y avez cru pour nous. Merci pour votre soutien. Merci pour elle. Pour moi.

Je l'aimerai toujours.

10 octobre 2008

Clap de fin

A sa demande, on fait un break. Le combat est presque perdu.

30 septembre 2008

Espoirs perdus

Petit bout de femme fragile au regard qui brille,

Un caractère de feu, un sourire qui pétille.

Ironie d’une princesse qui m’attire malgré elle

Dans sa bulle tout en noir où mes idées s’emmêlent.

J’ai posé sur une feuille mes envies, mes espoirs,

Mais l’automne si ingrat n’y laisse que mon cafard.

Il emporte dans son souffle mes rêves les plus fous,

Moi je pleure, dépourvu, je tiens à peine debout.

J’idéalisais tant nos cent prochaines années,

Aujourd’hui le temps passe, l’idéal reste abstrait.

Il est long le chemin qui conduit au zénith.

Si cruel le destin quand il vous prend en grippe.

Le doute et le dépit sont donc le quotidien

De ce qu’il reste de moi au milieu de cette vie de chien.

Un corps qui déambule avec pour seuls bagages

Des attentes ridicules et un sac rempli de rage.

Une chose est sûre je l’aime et ça, ça me rend fort,

Et pour qu’un jour j’abdique il faudrait que je sois mort.

L’amour a ce mérite qu’il vous aide à défendre

Vos convictions, vos souhaits, vos songes les plus tendres.

29 septembre 2008

Haine

Souvent, j’y pense. Si tout venait à mal finir, si elle ne s’accrochait pas, si elle lâchait tout, définitivement, est-ce que je parviendrais encore à contenir toute cette haine, toute cette rancœur en moi ? Cette petite voix qui me répète perpétuellement : « Venge-la ! ». Cette rage que je contiens en moi pour une unique raison : la préserver, elle. Car oui, je sais. Je sais qui est le responsable de toute cette merde. Je ne le connais pas, je ne l’ai jamais vu, mais il me serait si facile de le trouver et de lui faire avaler ses couilles.

Je suis quelqu’un très calme, très posé. Pas violent pour un sou. De souvenir, j’ai dû me battre une fois dans ma vie….au collège. Et pourtant. Pourtant j’ai accumulé au cours des 4 dernières années une haine incommensurable. Une animosité énorme, que je garde en moi, que je ne laisse pas paraître. Devant les autres, surtout devant elle, je reste moi. Récemment, je me suis légèrement cassé un doigt en frappant dans un panneau stop. Quel con ! Elle ne le sait pas, je lui ai dit que je ne savais pas comment j’avais fait mon compte…

Hier, j’ai vu ce reportage sur cette femme qui en 1989 tua son père ultra violent et fut finalement acquittée 3 ans plus tard. Bel épilogue. Combien de fois a-t-elle pu imaginer son geste avant de passer à l’acte ? Des centaines. Des milliers peut-être. Oh rassurez-vous, je n’en suis pas encore là. Mais. De plus en plus, je me dis que chacun d’entre nous, poussé dans ses derniers retranchements, est capable d’en arriver là. Ne dit-on pas l’homme est un loup pour l’homme ? Alors, si demain je perdais tout, si la conclusion de ce combat devait être triste, voire dramatique, comment réagirais-je ? Quels sont les limites de l’homme quand il sent qu’il n’a plus rien à perdre, qu’il a déjà tout perdu, qu’on l’a détruit à petit feu ? Je ne le sais pas. Et j’espère secrètement ne jamais avoir à le découvrir…

22 septembre 2008

De retour

Et oui me revoilà après une absence assez conséquente en raison de divers soucis, principalement informatiques. Ordinateur en rade (merci vista), puis ligne internet coupée par erreur (merci Orange) et me voici coupé du monde durant à peu près un mois. Tout est rétabli depuis une dizaine de jours mais je dois avouer que j'avais pas trouvé l'envie de blogguer depuis...

Ces cinq semaines d'absence sur la toile correspondent en outre à la période depuis laquelle je ne travaillais pas. En effet, je suis tout juste de retour au bureau aujourd'hui après deux semaines de congés.... et trois semaines d'arrêt de travail ! Pourquoi ? Le football, bien entendu ! Après deux semaines de vacances fort appréciables, reprise du foot la veille de ma supposée reprise du taf, et là le drame : un connard joueur de l'équipe adverse me met un vilain tacle et je me retrouve avec une grosse entorse de la cheville et une rupture du ligament ! La tête de mon médecin traitant quand il m'a vu revenir la cheville en vrac trois jours après avoir signé ma licence ! Plus qu'à attendre mon IRM du mois prochain pour savoir si je dois me faire opérer ou pas. Manquait plus que ça... Du coup, trois semaines à la maison avec pour toute occupation la console de jeux : les kartings de Mario n'ont plus de secret pour moi !

Côté moral, du bon et du moins bon. C'est comme d'habitude, un jour ça va, un jour ça va pas. Un jour Jean qui rit, un jour Jean qui pleure. Les deux premières semaines ont été plutôt bénéfiques : une semaine à deux où on a pu s'occuper de notre couple, puis une semaine où j'étais seul la journée (madame ayant retrouvé du travail), ce qui m'a permis de m'occuper de moi sans penser au reste. Ensuite, la blessure puis surtout d'autres événements sur lesquels j'ai pas envie de m'étendre ont ramené mon moral dans mes chaussettes...

Enfin, concernant ma p'tite femme et notre quotidien, bah..... à l'ouest rien de nouveau. Elle va toujours aussi mal, parle toujours aussi peu et n'est plus motivée à s'en sortir j'ai l'impression. Trop fatiguée, trop dur. Et puis il y a autre chose qui la tracasse. Je ne sais pas quoi, mais j'ai la sensation qu'elle ne dit pas tout. Qu'elle a peur, qu'elle ne veut pas en rajouter. Mais qu'elle n'a pas tout révélé. Qu'elle cache des choses par peur de faire du mal à ceux qu'elle aime. Elle refuse le bonheur. Je pense qu'elle sait pourquoi, mais qu'elle ne veut pas l'avouer. On refuse pas d'être heureuse juste comme ça, par principe... Elle doit se reprocher des choses, mais elle ne le dira pas. Je suis pourtant persuadé qu'en livrant ses secrets, ces non-dits dont j'ignore le contenu mais dont elle a je pense honte, elle se libérerait enfin et s'offrirait à un nouveau départ...

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